assosolos grace bailhache offre solopreneur comparaison mauvaise conseillere

Après la tendance malheureuse du copier/coller abordé dans un article précédent, dans la série des FBI auxquels cèdent de nombreux solopreneurs, freelance, travailleurs indépendants, j’appelle la comparaison mal à propos.

Heu…Kesako que cette oiseau là me rétorquerez-vous ? Eh bien c’est tout simplement la tendance à confondre la partie de l’étude de marchés ou l’on observe ses concurrents avec la manie de se comparer à des marques déjà établies pour se positionner comme elles sans autre forme de formalités. Oups ! Un peu comme dirait, un genre de « grenouille qui voudrait se faire aussi grosse que le bœuf » quelqu’un se souvient de cette fable de La fontaine ? Non !!! Eh bien je vous la recommande car elle synthétise ce que je m’en vais illustrer.

Pourquoi comparaison n’est pas raison ? Pourquoi le fait de tout faire ou faire l’opposé de la communication et du marketing de grandes marques ou de personnalité publique vous fait perdre du temps, de l’énergie et de l’argent ?

Entendons nous bien, je ne dis pas qu’il ne faut pas s’inspirer des meilleurs bien au contraire. Par exemple, lorsque je travaille sur un projet, je demande toujours des liens de sites, comptes ou pages Facebook suivis par les personnes intéressées. C’est à la fois pour mieux les connaitre, les comprendre et voir ce qu’ils aiment à titre personnel. Ce qui me conduit à trois constats un peu alarmant.
.
> Comparaison numéro 1 : Je veux que l’on connaisse ma marque, mon produit pas moi ni ma pomme

Heu… On ne le croyait pas à première vue en parcourant mes espaces. Et pourtant, je suis quelqu’un de discret, je déteste les photos et parler devant une caméra m’horripile donc je comprends parfaitement ceux et celles qui font le choix de ne pas se montrer, c’était ma politique également jusqu’en 2013.

J’entends bien, et je pense qu’il important que chacun fasse comme il le ressent, cependant,  dans ces cas là, vous devez créer une communication cohérente avec ce choix, et non vous justifier en vous comparant à de grandes marques ou des personnalités publiques qui connues et REconnues n’ont plus besoin de se présenter ou de promouvoir leur singularité et créer des liens, car c’est de çà qu’il s’agit avant de vouloir vendre, CRÉER UN LIEN.

Personne ne sait qui est derrière Nike et çà n’empêche pas les gens d’acheter voilà ce que j’entends ici et là. Mouais, je suis parfaitement d’accord pour comparer mais dans ce cas, primo il faut remonter le temps et vous comparer à la marque en 1964, deuzio même les grandes marques prennent des ÉGÉRIES pour combler ce besoin d’attachement  et d’identification.

> Comparaison numéro 2 : Je veux faire comme X, c’est le C.E.O de la start up grimpante du moment 

Oui je sais impossible de résister à faire une boutade au sujet du Spider Gassama héros homme araignée du moment. SouRIRES ! Je reviens à mes moutons.

Faire d’une EXCEPTION une généralité sur la base des médias est une fausse bonne idée que nous commettons tous à un moment ou un autre. Pourquoi ? Parce que dès que cela tourne au vinaigre, en général, on approfondit ses recherches, l’enthousiasme étant retombée, on est plus attentif aux chiffres et l’on finit par s’apercevoir que  les journaux ( qui veulent se vendre)  ne donnent en exemple que les sucess story, ils ne parlent pas des milliers d’autres starts up  qui ne fonctionnent pas.
.
> Comparaison numéro 3 : je veux faire de la provoc et/ou l’effeuillage  pour surfer sur la vague voyeurisme du public

Comme dirait l’autre « tout est bon dans le cochon ». Etant partisane du libre arbitre, j’ai tendance à laisser les gens aller au bout de leurs idées.  La seule recommandation que je me permets c’est d’au moins réfléchir à une stratégie. Bah vouih quoi ! Tant qu’à utiliser des éléments transgressifs autant se préparer pour rebondir et exploiter le buzz au maximum. Or juste créer « des clics à p.. », faire des vrais faux clashs, ou créer des love story bidons, même si vous êtes dans le marché des amours ne vous rapportera rien qui vaille si vous n’avez au préalable un VRAI service, produit et une stratégie pour capitaliser sur le long terme.

Vous connaissez la meilleure ?  Vous pouvez éviter toutes ces mauvaises comparaisons et creusez dans les bonnes pour créer une OFFRE à laquelle on a juste envie de dire OUI c’est où que je signe

Comment ?

En venant à l’atelier  Mon offre en ligne comment la créer, l’améliorer, la tester et la lancer Samedi 23 juin 2018 à Paris  dans le cadre du morning Solidaire.

Préparez votre rentrée maintenant investissez dans votre offre en passant par un atelier agile qui joint la flexibilité à l’efficacité > Eventbrite Morning 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *