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Dans la première partie de ma série relative aux médias et les réseaux sociaux, je vous indiquais avoir notés deux grandes axes au cours de mon enquête auprès des les Travailleurs indépendants, Freelance, Solopreneurs et les associations. Pour les uns c’était un cauchemar éveillé et pour les autres une aubaine.

D’après les codifications de mes résultats d’enquêtes, ceux qui ont les médias sociaux en horreur ont un ou plusieurs de ces points en commun :

  • Un rejet instinctif et viscéral pour tout ce qui touche aux échanges virtuels, leur usage du net est ponctuel et toujours limité dans le temps : consultation de mails, achats ou intranet basique.
  • Une présence contrainte uniquement sur les réseaux sociaux. Très à l’aise avec l’informatique et internet en général, ils en apprécient tous les avantages, seulement les médias sociaux sont synonymes de perte de temps parce que liés au narcissisme et au tout à l’ego.
  • Ils sont enthousiastes et dilettantes,  sans stratégie ni positionnement particulier sur les médias sociaux. Dans le cas des associations, leurs publications se limitent au relais de ce qui est déjà présent sur le site sans aucun apport, et de temps à autre des images d’événements récents, en cours ou à venir. Quant aux solopreneurs, ils se métamorphoses en camelots le bagou en moins, avec d’incessantes publications incitant à l’achat de produits ou services, aucune respiration pour ceux qui suivent.
  • Ils font du copier/coller d’une page américaine ou d’un concurrent local ayant atteint vu de l’extérieur ce qu’ils souhaitent accomplir. Le problème de l’imitation pure et simple c’est que la vision et la stratégie en est absente, donc les résultats sont rarement au rendez-vous.
  • Ils adoptent la stratégie d’une grande marque ou d’un artiste connu, en focalisant sur les likes, les vues ou les chiffres.  Seulement le hic, c’est qu’ils oublient que l’artiste reconnu aujourd’hui a passé des mois, sinon des années à créer l’engouement qui l’autorise à adopter certaines méthodes.

Nous sommes tous des apprenants dans ce domaine, j’ai moi même commis bon nombre d’erreurs en débutant sur les réseaux sociaux et ce n’est pas finit parce que je ne les connais pas tous, j’expérimente Instagram par exemple et c’est une gageure de trouver quelqu’un pour m’expliquer ce qu’est Snapchat sur lequel j’entends tout et son contraire. Ce réseau m’intéresse depuis que j’ai vu un « hangout » réunissant des social manager anglo saxons autour de l’utilisation des médisas sociaux dans leurs universités respectives. Et j’ai été ébaubie de la façon dont une université américaine dont j’ai oublié le nom utilisait ce media pour harponner les étudiants. Ils en étaient encore aux balbutiements et partageaient leurs tops et flops. Vraiment inspirant.

C’est pourquoi ce sera palpitant de reparler de tout cela dans les groupes dédiés avec ls participants à la loterie solidaire.  

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