La contribution digitale à la JIFA est un projet que j’ai initié en 2014 sur mon blog pro inspirée Aoua Keita sage femme, militante, syndicaliste, féministe, première députée du Mali, initiatrice avec d’autres militantes de la Journée Internationale de la Femme Africaine en 1962. Pour moi cette rencontre a été le révélateur d’un manque d’images récurrentes de femmes africaines inspirantes, diverses et multiples qui existent bel et bien.
Il y’a trois raisons pour lesquelles je partage cette information sur cet espace.
La première c’est que j’ai crée le site de la JIFA en 2015 pour pérenniser la mise en lumière des 1001 visages de la femme africaine suite à ma pause professionnelle pour raison de santé. C’est donc un témoignage de ce que l’on peut transformer un coup du sort en opportunité, puisque cet arrêt m’a permis de développer une nouvelle compétence. Une façon de rappeler aux associations et solopreneurs souvent contraints de faire beaucoup avec peu, à quel point la toile nous offre une chance incroyable de transformer nos faiblesses en forces à condition d’accepter le principe d’être guidés, de créer davantage de passerelles, de favoriser davantage les échanges de compétences et de savoir-faire.
Le second motif tient au contenu de la contribution. Dans l’article concernant la loterie solidaire, j’évoquais les changements relatifs à son lancement dans le cadre du projet Assosolos2017. Ce n’est pas un recul, plutôt un pas de côté, puisque je vais l’expérimenter sur une plateforme qui a déjà un lectorat, des ramifications sur les réseaux sociaux et qui va s’enrichir d’une équipe. Autant d’éléments qui plaident en faveur de cet essai sur le terrain.
Enfin en tant que coordinatrice, la quasi totalité des compétences que je propose aux futurs participants au projet assosolos2017 seront mis à contribution sur le site www.journeefemmeafricaine.com et les réseaux sociaux. Visiter cet espace vous donnera une idée de la manière dont je peux customiser un site avec beaucoup de contenu à la différence de celui-ci qui est plus basique.